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L’essor de la mobilité électrique se confirme: les constructeurs investissent en masse dans cette technologie, les nouveaux modèles foisonnent sur le marché et les pouvoirs publics l’encouragent en proposant des dispositifs attractifs. Quant aux chiffres d’immatriculation au premier trimestre 2020, ils sont en forte croissance et la barre des 300 000 véhicules a été franchie, en adéquation avec les prévisions les plus optimistes des spécialistes. A noter que la crise liée au COVID 19 a eu un impact sur la dynamique de vente de l’année.
Pour autant, les utilisateurs de véhicules électriques ou futurs acquéreurs cherchent encore leurs marques avec ce nouvel usage. Celui-ci engendre de fait un changement de paradigme face à des habitudes ancrées depuis des décennies. Simple exemple: on ne s’arrête plus pour "faire le plein" mais "on se recharge" lorsqu’on s’arrête… d’autres exemples viennent étayer cette évolution mais pour lesquels il existe encore peu de points de mesure: quelle fréquence de recharge, pour quelle puissance? Quelle autonomie pour combien de kilomètres par jour ? Quelle installation de recharge avec quelle adaptation de la consommation ou du contrat de fourniture d’électricité? Autant de questions en lien avec la gestion du réseau public de distribution.
L’enquête propose une photo de la situation établie à partir d’un sondage approfondi auprès d’utilisateurs actuels de véhicules électriques. Ces résultats seront amenés à évoluer notablement dans les années à venir, au fur et à mesure de l’augmentation des ventes de véhicules électriques et du développement des offres de services de charges.
Plusieurs constats peuvent être tirés de cette enquête comportementale.
1er constat : Les véhicules électriques sont utilisés en grande partie pour la mobilité du quotidien
2e constat : La distance parcourue avec ce type de véhicule augmente de jour en jour pour atteindre les 43 km par jour en moyenne
3e constat : La recharge se fait essentiellement à domicile. 70 % des sondés n’utilisent jamais les bornes de recharge publique
4e constat : Les enjeux de puissance sont méconnus et les systèmes de pilotage sont encore en cours d’appréhension par les utilisateurs
ENEDIS - Etude complète - 2020-06-24
Pour autant, les utilisateurs de véhicules électriques ou futurs acquéreurs cherchent encore leurs marques avec ce nouvel usage. Celui-ci engendre de fait un changement de paradigme face à des habitudes ancrées depuis des décennies. Simple exemple: on ne s’arrête plus pour "faire le plein" mais "on se recharge" lorsqu’on s’arrête… d’autres exemples viennent étayer cette évolution mais pour lesquels il existe encore peu de points de mesure: quelle fréquence de recharge, pour quelle puissance? Quelle autonomie pour combien de kilomètres par jour ? Quelle installation de recharge avec quelle adaptation de la consommation ou du contrat de fourniture d’électricité? Autant de questions en lien avec la gestion du réseau public de distribution.
L’enquête propose une photo de la situation établie à partir d’un sondage approfondi auprès d’utilisateurs actuels de véhicules électriques. Ces résultats seront amenés à évoluer notablement dans les années à venir, au fur et à mesure de l’augmentation des ventes de véhicules électriques et du développement des offres de services de charges.
Plusieurs constats peuvent être tirés de cette enquête comportementale.
1er constat : Les véhicules électriques sont utilisés en grande partie pour la mobilité du quotidien
2e constat : La distance parcourue avec ce type de véhicule augmente de jour en jour pour atteindre les 43 km par jour en moyenne
3e constat : La recharge se fait essentiellement à domicile. 70 % des sondés n’utilisent jamais les bornes de recharge publique
4e constat : Les enjeux de puissance sont méconnus et les systèmes de pilotage sont encore en cours d’appréhension par les utilisateurs
ENEDIS - Etude complète - 2020-06-24