Les incendies sont des « herbivores globaux » : ils détruisent les parties en général non enterrées des végétaux comme le feuillage et les branches, voire le tronc pour les arbres, mais aussi quelquefois la partie supérieure des racines ou les souches.
De nombreuses plantes supportent assez bien les feux « classiques » méditerranéens, de faibles ampleurs. Elles s’y sont adaptées physiologiquement (mobilisation de bourgeons secondaires, stockage de l’eau ) et/ou morphologiquement.
Ainsi, la végétation s’est adaptée, possédant des capacités à se régénérer après certains des événements catastrophiques que constituent les feux. Depuis des millénaires, ces feux font aussi office d’outils de gestion du milieu : ils sculptent les paysages, du défrichement au « nettoyage » des forêts. Une « ouverture » du milieu souvent recherchée par les aménageurs, pour les pratiques pastorales… ainsi que pour la prévention contre les incendies , justement.
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De nombreuses plantes supportent assez bien les feux « classiques » méditerranéens, de faibles ampleurs. Elles s’y sont adaptées physiologiquement (mobilisation de bourgeons secondaires, stockage de l’eau ) et/ou morphologiquement.
Ainsi, la végétation s’est adaptée, possédant des capacités à se régénérer après certains des événements catastrophiques que constituent les feux. Depuis des millénaires, ces feux font aussi office d’outils de gestion du milieu : ils sculptent les paysages, du défrichement au « nettoyage » des forêts. Une « ouverture » du milieu souvent recherchée par les aménageurs, pour les pratiques pastorales… ainsi que pour la prévention contre les incendies , justement.
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